La régression en âge

 

  • Chacun présente un décalage entre l’âge chronologique et l’âge psycho émotionnel. Cela produit des comportements infantiles.
  • Mais si vous souffrez de dépendance affective, cet écart est démesuré.
  • Par conséquent, dans vos relations intimes, vous agissez à partir d’un état d’infantilisation psychoaffective, même si dans la société ou le lieu de travail vous vous comportez comme un adulte.

Qu’est-ce que la dépendance affective ?

 

  • Il s’agit d’un état de stress post-traumatique, qui se manifeste dans les relations amoureuses par des états régressifs.
  • Si vous êtes une personne affectivement dépendante, vous ressentez la peur de l’absence ou d’un vide intérieur.
  • Vous ressentez la sensation d’être incapable d’exister sans la personne que vous croyez aimer.
  • Vous ressentez le manque d’amour ou de valeur personnelle ou de complétude.
  • Cela conduit à des attachements et des interactions très pénibles.

Votre stress post-traumatique

 

  • Votre stress post-traumatique a été généré par la violation constante de vos limites psychoaffectives dans l’enfance.
  • Inconsciemment, vos parents ou les adultes soignants, vous ont empêché de vous séparer psychologiquement d’eux et d’établir de limites personnelles pour devenir un adulte accomplit, qui a évolué vers son autonomie psychoaffective.
  • Pourquoi ? Parce qu’ils vivaient dans un état de régression en âge chronique.
  • Leur immaturité les a empêchés de fixer des limites et de respecter les vôtres.
  • Vos parents fonctionnaient comme des hypnotiseurs, parce qu’ils vous ont transmis des messages erronés au sujet de votre identité.

 

Que c’est-il passé concrètement ?

 

  • Eh bien, chaque enfant a besoin du respect de ses limites psychologiques et d’être vu pour ce qu’il est. Il a besoin de recevoir un amour constant et fiable, qui le permettra de s’individualiser, de se différencier de ses parents et d’évoluer vers son autonomie psychoaffective.
  • Mais si vos parents ne vous ont pas aimé(e) pour ce que vous étiez, mais pour ce que vous représentiez à leurs yeux, ils vous ont instrumentalisé(e).
  • Ils vous ont donné de l’amour à la condition d’une « transaction ».
  • Sans le savoir, ils ont fait de vous le porteur de leur névrose, de leurs souffrances ou de leurs rêves inassouvis.
  • Ou bien, ils ont fait de vous l’instrument par lequel ils transformaient leurs échecs en succès, ou leur humiliation en victoire ou leurs frustrations en bonheur.
  • Si l’un de vos parents était alcoolique, dépressif, avait un trouble de la personnalité ou était mentalement malade, certainement il vous a englouti ou vampirisé psychologiquement.
  • Il vous a fait porter ses souffrances mentales ou son trouble de la personnalité et vous avez dû combler son vide psychoaffectif et émotionnel ou devenir son extension identitaire.
  • Vous avez développé de l’empathie et appris à l’aider en endossant le rôle anxiogène de thérapeute sauveur, de petite mère, de petit papa, de compagnon de substitution ou de compagne romantique, de porteur de son trouble de la personnalité.
  • En échange, vous avez reçu l’amour et l’attention dont vous aviez besoin.
  • Mais à cause de ce rôle hypnotique et anxiogène, vous n’avez pas été en mesure de vous individualiser, ni de vous séparer psychologiquement de ce parent pour évoluer pleinement vers votre autonomie psychoaffective.
  • Comment devenir psychologiquement autonome, comment écouter ses besoins fondamentaux et poser ses limites psychoaffectifs si l’on a été psychiquement instrumentalisé, maltraité ou vampirisé ?
  • Par conséquent, vous souffrez de dépendance affective.

 

Les conséquences de cette instrumentalisation

 

  • Pour être aimé(e), vous avez joué le rôle que vos parents vous ont imposé. C’était votre façon de survivre dans cette famille dysfonctionnelle.
  • Mais par leur intrusion de vos limites, vous avez été entraîné(e) à ignorer votre réalité essentielle et à occuper l’espace illusoire créé par vos parents.
  • Cela a généré une insécurité ontologique. (Du mot grec « ontos », qui signifie Être.)
  • C’est-à-dire que vous vous êtes éloigné(e) de votre être authentique et vous ne pouvez pas vous approprier votre vie psycho-émotionnelle, car vous n’avez pas un ego solide.
  • En abandonnant votre état naturel d’être, pour jouer le rôle anxiogène que vos parents vous ont poussé à adopter, ce rôle est devenu une partie intégrante de votre identité.
  • Vous n’avez donc pas la sensation d’être vous-même, sauf si vous dépendez de quelqu’un d’autre.
  • Par exemple, si l’un de vos parents a fait de vous son/sa partenaire romantique, vous avez souffert d’un inceste psychologique. Dans votre vie d’adulte, vous ne pouvez pas avoir une relation saine et adulte avec votre partenaire, car vous jouez le rôle d’un enfant instrumentalisé, assujetti aux demandes et désirs de votre partenaire.
  • Vous créez ainsi une relation symbiotique et fusionnelle, complètement malsaine, qui vous empêche d’avoir une vie sexuelle épanouie et une identité propre.

 

L’introjection confirme l’instrumentalisation

 

  • Qu’est-ce que l’introjection ? Le cerveau de l’enfant que vous étiez a photographié, filmé, enregistré et incorporé dans son psychisme les demandes irréalistes et les messages implicites de ses parents. Il a incorporé leur instrumentalisation et leur abus.
  • Il a également incorporé ses propres réactions et sensations face à leurs demandes, à leur instrumentalisation et au rôle qu’ils lui ont donné.
  • Ces introjections se trouvent dans votre psyché. En d’autres termes, votre « moi » psychique n’est rien d’autre qu’un « faux moi » provenant de l’enfance.
  • Ce « faux self » s’est construit à partir de l’exposition répétée à des demandes et messages implicites qui ont laissé une empreinte traumatique sur la psyché de l’enfant que vous étiez.
  • Identifié(e) à ce « faux self », dans votre vie d’adulte vous réactivez inconsciemment les messages inconscients de vos parents, ainsi que le rôle imposé.
  • Des voix produisent un monologue dans votre tête, qui confirme vos états régressifs et votre anxiété chronique.

Votre attention, où se focalise-t-elle ?

 

  • En moments de détresse, quand vous ruminez l’abandon, le rejet, la trahison, l’humiliation, ou le traitement injuste d’un être aimé, votre attention se focalise  sur l’image de la personne qui vous a blessé et sur les mémoires de votre histoire avec elle.
  • Mais surtout, votre attention se focalise sur le doute de vous-même, sur l’absence, sur le vide ou sur la perte, ainsi que sur le manque d’amour ou d’estime personnelle.
  • Cliquez sur cette vidéo : Le fantôme de la dépendance affective.
  • En deux mots, votre attention se focalise sur le « personnage souffrant » que vous croyez être, sur votre « faux self ».
  • Identifiez à lui, vous avez la sensation d’être un enfant blessé en manque d’amour.
  • Et en vous identifiant à cet enfant du passé, vous agissez à partir de ses fantasmes inconscients, ses distorsions cognitives, ses mécanismes de défense, ses interprétations erronées de la réalité, ses émotions stressantes, ses doutes, son vide intérieur, ses schémas répétitifs, ses quêtes de réparation et ses croyances.
  • Pour cette raison, vous ressentez une anxiété profonde qui se manifeste par une contraction chronique dans la ligne frontale de votre corps.
  • Vous évitez de ressentir le chaos émotionnel et la détresse qui provient de votre enfance en cherchant compulsivement la fusion avec quelqu’un.
  • Par conséquent, vous vous accrochez à des personnes qui comme vous, vivent en état de régression d’âgé.
  • Comme vous prenez des décisions en état de régression infantile, vous confirmez votre « personnage soufrant » et votre manque d’amour.
  • C’est ainsi que l’enfant du passé hypnotise l’adulte que vous êtes aujourd’hui.

 

Voici 10 caractéristiques de votre « faux self » :

1. Vous vous sentez inférieur(e)
  • Vous ne savez pas qui vous êtes vraiment.
  • Comme vous n’avez pas l’autonomie psychoaffective d’une personne vraiment adulte, vous n’avez pas d’estime personnelle.
  • Peut-être que vous vous sentez inutile, nul(le), inadéquat(e), inexistant(e), etc.
  • Puisque vous vous sentez coupable et honteux (se) de vos « insuffisances », vous vous dévalorisez et vous avouez facilement vos défauts aux autres.
  • Vous vous sentez responsable de tout et lorsque les choses ne vont pas comme vous le souhaitez, vous pensez que tout est de votre faute.
  • Devant les autres, vous vous sentez coupable et honteux (ou honteuse) de ne pas avoir une relation intime, car sans l’autre vous croyez ne rien valoir. Vous rêvez d’avoir une relation intime pour vous construire et vous valoriser.
2. Vous croyez manquer de ressources
  • Puisque vous vous dévalorisez, vous croyez que vous n’avez pas des capacités, ni de connaissances ou des ressources pour agir et créer.
  • Et comme vous vivez en état de confusion par cause de votre dévalorisation, vous ne savez pas quelle direction donner à votre vie.
  • Comme un petit enfant, vous vous sentez perdu(e) et croyez que votre survie est menacée sans un être cher qui puisse vous épauler.
  • Par peur de ne pas pouvoir survivre seul(e), vous cherchez à vous « structurer » à travers une relation de couple coûte que coûte.
3. Vous ressentez une anxiété profonde
  • Cette anxiété est générée par l’insécurité « ontologique » que vous ressentez depuis l’enfance. (Du mot grec ontos, qui signifie être).
  • Regardez la vidéo : « Le fantôme de la dépendance affective ».
  • Vous êtes certain(e) de ne pas pouvoir exister sans l’être aimé, car vous ressentez une peur profonde de l’absence et du vide. C’est pourquoi vous vous attachez à l’être aimé comme si vous étiez un enfant.
  • Cet attachement vise à susciter des réactions de protection et à sauvegarder la relation avec la personne dont vous dépendez.
  • Si vous êtes demandant(e) avec votre partenaire, au même temps que très soumis(e), c’est que vous êtes envahi(e) par l’angoisse de perdre son amour.
  • Vous avez une peur extrême de la séparation, du rejet et de l’abandon au point d’avoir un comportement limite.
4. Vous évitez d’aller à la rencontre de votre chaos émotionnel
  • Votre détresse vous pousse à vous identifier au « faux self » adopté dans l’enfance et à agir selon son système défensif. Par exemple, vous vous anesthésiez, vous niez vos besoins, vous intériorisez les souffrances des autres, vous vous dissociez de vos émotions, etc.
  • Mais ce système défensif ne vous aide pas à gérer votre chaos émotionnel, car vous prenez des décisions en état de régression d’âge.
  • Par exemple, vous recherchez compulsivement la fusion avec quelqu’un, sans vous soucier de savoir si cette personne vous convient ou non.
  • Une fois la relation établie, vous confiez à cette personne la régulation de votre vie psychoaffective et l’utilisez pour obtenir l’estime de vous-même et l’amour qui vous manquent, car vous ne vous aimez pas.
  • Mais vos exigences envers cette personne et envers vous-même sont si irréalistes, que tôt ou tard, vous retombez dans la souffrance et le chaos émotionnel qui confirme le « personnage souffrant » en manque d’amour.
5. Votre naïveté et votre pensée magique
  • Vous êtes naïf (ou naïve) car, dès le début d’une interaction, vous idéalisez la personne avec laquelle vous pensez pouvoir avoir une relation. En raison de cette idéalisation hypnotique vous n’observez pas ses comportements.
  • Vous devenez accro à cette idéalisation parce que vous tombez également amoureux (ou amoureuse) de la personne idéale que vous pensez pouvoir être à ses côtés. Vous êtes épris(e) de votre propre image idéale.
  • L’idéalisation vous réconforte, car vous recherchez le genre de fusion que vous avez ressentie avec votre mère lorsque vous étiez bébé.
  • Votre naïveté est liée à votre pensée magique. Comme un enfant qui projette son monde d’objets mentaux sur sa poupée et ses jouets, vous projetez le vôtre sur cette personne. Cette projection infantile est la pensée magique.
  • Par exemple, si votre esprit abrite une sainte Famille, vous comparez cette personne à une Madone divine ou à Dieu le père. Ou bien, vous vous dites : « J’ai trouvé enfin mon âme sœur, nous nous sommes connus dans une vie antérieure, nous avons une mission à accomplir ensemble, etc. »
Si cette personne est narcissique…
  • Vous entrez dans un état d’infatuation par l’image idéalisée qu’il/elle vous renvoie pendant la première phase de la relation narcissique/dépendant, où vous tombez complètement sous hypnose.
  • L’état de fusion que vous recherchiez semble se réaliser enfin, car vous vous idéalisez et vous maternez mutuellement !
  • Dans cet état de fusion hypnotique, vous n’avez pas d’esprit critique, ni de discernement pour distinguer le vrai du faux.
  • Vous croyez tout ce que cette personne vous dît, sans observer ses manipulations et son contrôle croissant.
  • Vous vous appuyez sur lui comment une béquille. Mais progressivement il/elle établira son fantasme partagé vindicatif en faisant de vous sa mauvaise mère.
  • Dans votre état d’infatuation amoureuse, vous allez lui donner tout votre pouvoir et lui permettre de détruire votre précaire équilibre psychique.
6. Vos frontières psychoaffectives
  • Vous n’avez donc pas des frontières psychoaffectives, car identifié(e) à votre « faux self » dépendant, vous confondez l’amour avec l’enchevêtrement ou avec l’utilisation de soi par l’autre.
  • En état régressif, vous êtes incapable d’installer vos frontières affectives et vous renoncez facilement à vos besoins légitimes et à votre dignité.
  • Par exemple, vous vous sentez entier (ou entière) lorsque vous agissez envers l’autre comme un enfant soutenant, empathique, aimante, etc.
  • Mais vous ne savez pas discriminer vos priorités, ni n’écoutez vos besoins fondamentaux ou vos désirs légitimes dans les interactions.
  • En fait, vous ne savez pas ce que vous voulez. Au lieu d’agir par vous-même, vous essayez de vivre selon la vision des autres afin d’obtenir leur amour.
  • Vous regardez ou écoutez ce que l’autre veut, et faites tout pour lui en vous suradaptant à cette personne, au point que sa vie devient la vôtre.
7. Vous manipulez les autres pour obtenir de l’amour
  • Identifié(e) à votre « faux self » dépendant, vous instrumentalisez les autres pour vous sentir aimé(e).
  • Vous dépendez des autres pour votre gratification émotionnelle et pour vos fonctions psychologiques, car vous n’avez pas un ego solide.
  • Inconsciemment, vous « forcez » votre partenaire à se rendre indispensable, au point de vous infantiliser, de vous contrôler, de décider pour vous de ce que vous devez faire ou ne pas faire, en plus de faire de vous sa chose, sans que vous posiez vos limites.
  • Ou bien le contraire ! Vous « forcez » votre partenaire à être infantilisé par vous, car vous vous rendez indispensable. Vous utilisez vos charmes et votre générosité pour gagner sa reconnaissance et son amour.
  • Vous faites de cette personne le sens de votre vie, tout en vous négligeant.
  • Vous essayez de comprendre les autres et vous consacrez à satisfaire leurs besoins comme s’ils étaient les vôtres.
8. Vous avez propension à l’autosacrifice
  • Vous prenez soin de l’autre au point de vous Vous lui donnez de l’amour, de respect et d’attention pour le rendre heureux, au détriment de vos besoins fondamentaux.
  • Vous protégez cette personne et vous assurez en permanence qu’elle soit heureuse, bien soignée et placé sur un piédestal, même si cela implique de vous sacrifier pour accomplir tout ce que vous devez faire pour elle.
  • Vous vous faites des demandes extrêmes concernant tout ce que vous pouvez lui donner.
  • Vous ressentez une sorte d’élévation spirituelle liée à l’amour que vous lui portez et à l’abnégation dont vous faites preuve.
9. Vous devenez masochiste
  • Votre « enfant intérieur » a fait de l’un de vos parents son Dieu. Dans un état de régression d’âge, vous transférez ce parent sur votre partenaire.
  • Vous vous soumettez à lui/elle en confondant l’amour et l’autosacrifice, la servitude ou un type de dévouement affectif ou sexuel.
  • C’est ainsi que vous lui donnez le pouvoir de vous utiliser !
  • Vous devenez sa servante et l’esclave de vos enfants ou de vos parents.
  • Si votre partenaire est narcissique, vous acceptez ou justifiez ses abus, jusqu’à la descente aux enfers. Vous semblez imperméable à ses abus !
  • Vous souffrez énormément parce qu’un narcissique ne peut pas vous donner de l’ARA : l’Amour, le Respect et l’Attention.
  • Mais vous vous accrochez à lui sans demander ce dont vous avez besoin, parce que vous avez peur de manquer d’amour, de ne pas pouvoir survivre sans lui et de vous sentir coupable de vouloir le quitter.
10. Vous devenez coercitive
    • Puisque vous utilisez vos êtres chers pour guérir votre vide psychoaffectif, vous pouvez devenir coercitif (ou coercitive) en exigeant de manière irréaliste de l’amour, de la reconnaissance et de l’attention de leur part.
    • De plus, vous contrôlez votre partenaire parce que vous craignez qu’il/elle ne vous trahisse ou vous quitte.
    • Voir la vidéo : « L’hypnose quasi-narcissique des dépendants affectifs ».

Le premier pas vers votre guérison

 

  • Le premier pas vers votre guérison et vers une meilleure vie, est de prendre conscience de vos schémas répétitifs, afin de vous réveiller de cette hypnose devenue votre « identité ».
  • À moins d’entrer dans un processus de Déshypnose identitaire, votre dépendance affective va perdurer pour le reste de votre vie.
  • Vous ne saurez jamais qui vous êtes en réalité.
  • Vous ne ressentirez jamais la plénitude d’Être.

Qu’est-ce que la Déshypnose identitaire ?

 

  • C’est le processus par lequel vous vous guérissez de votre stress post-traumatique.
  • Vous identifiez les comportements et les schémas répétitifs qui se produisent en pilote automatique et qui confirment ce stress.
  • Vous remettez en question le « personnage » que vous avez toujours cru être.
  • Vous vous réveillez définitivement de votre hypnose identitaire.

Grâce à ce processus

 

  • Vous écoutez vos besoins fondamentaux et vous les respectez.
  • Vous fixez vos limites dans vos interactions humaines.
  • Vous permettez à l’énergie vitale de circuler librement partout dans votre corps.
  • Votre attention se réintègre à sa propre source et se libère du « moi » dépendant.
  • Votre cœur trouve la sérénité, l’amour et la joie simple d’Être.
  • Vous écoutez votre être authentique et vous éveillez à votre véritable Nature, qui est l’accomplissement de tous vos élans.

Conclusion

 

  • La Déshypnose identitaire est le seul moyen de découvrir qui vous êtes réellement.
  • Tout comme l’homme qui creuse un puits, se débarrasser de la terre pour trouver de l’eau, il est essentiel de vous débarrasser de tout ce que vous n’êtes pas, afin de trouver l’Être que vous êtes réellement.
  • Le grand poète Rûmî (1307-1273) disait :
Votre tâche n’est pas de chercher l’amour, mais de démanteler tout ce que vous avez construit contre l’amour.

 

Vous trouverez des informations sur mes cours sur cette la page :

 

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